He who seeks freedom and fortune course the endless seas.
Dans un monde en ébullition, dirigé par l’avidité des nobles et secoué par les plus audacieux, quel sera votre rôle ? Milles trésors et mystères hantent ces mers, serez-vous capable d'en tirer l'avantage ? Prenez le large et voguez vers ces horizons inconnus !
1717,Une odeur de poudre flâne sur les vagues. Quelques débris flottent, balancés par la houle indifférente aux massacres. Au loin des coups de canon, des cris et le frémissement métallique des épées résonnent :Les peuples du bassin Ouest-Atlantique se battent farouchement pour dominer les mers et imposer leurs lois, tandis que des pirates pillent sans scrupules le moindre navire susceptible de leur rapporter de quoi vivre. Avides de liberté, ambitieux ou désespérés, ces derniers poussent les limites du connu, bravant les dangers les plus sombres et chassant les trésors perdus... Lire la suite...
Evénements
Exhibition à la Française Les prémices de grands débordements. Acte Premier - Introduction Le vent battait sauvagement les voiles en ce chaud début d’Avril. La ville de Nantes était en effervescence depuis plusieurs jours, l’on avait rarement vu autant de traducteurs dans cette belle ville portuaire française. Il se murmurait que le roi de France et la reine d’Angleterre elle-même s’étaient intéressés à l’événement. Et quel événement ! L’inauguration d’un navire unique en son genre.L’Aphrodite entrait dans les eaux froides de l’océan Atlantique et pour l’occasion son propriétaire organisait un immense banquet ou tout le monde était invité à condition d'avoir un nom important. Pour les nobles cela n’était aucunement un problème, pour les jeunes bourgeois, travailleurs aisés ou petits seigneurs, c’était une autre histoire. Certains civils s’étaient vu offertl’accès au bal pour leurs divers compétences, ils étaient dispensé du droit d’entré en échange de servir contre rémunération. Il n’y avait nul doute qu’il y aurait quelques invités indésirables, pour ces derniers, corsaires, marines et mercenaires s’affichaient fièrement sur le port de Nantes et l’Aphrodite. Lire la suite...
Alejendro est plutôt un bel homme et il le sait ! Il n'hésite pas à draguer les jolies femmes, quitte à se prendre quelque gifle par-ci et par-là. On pourrait même dire qu'il est un peu obsédé et pervers sur les bords.
Malgré son narcissisme parfois présent, cet homme ne cautionne pas que l’on s’en prenne aux innocents, aux femmes et aux enfants. Il considère que les gens qui sont prennent aux plus faibles sont simplement des lâches et n’ont aucune fierté.
Il a beaucoup de mal avec son roi qui est totalement à l’opposer de lui, mais il garde toujours du respect pour les personnes puissantes. Ce n'est pas une personne qui aime les conflits inutiles, donc s'il peut les éviter, il n'hésitera pas et fera preuve de patience. Certes on pourra croire qu'il ne peut pas éprouver de la pitié et ben si, car il en a pour les pirates barbares et sans aucune tenue. Il est très sympathique et a l'écoute et est également très doué à l'épée, même un des meilleurs dans son pays.
L'histoire
Né en Espagne, à Puertoquilo, d’une mère morte en couche et d’un père lui-même corsaire, Alejendro a été confié durant toute son enfance à sa nourrice et à la rue, qui l’ont, toutes deux, éduqué. La relation maternelle qu’il partageait avec cette nourrice fut d’une grande importance pour lui. Dès qu’il fut en âge d’exprimer des idées claires, il formula le vœu de toujours protéger cette mère et de tout faire pour qu’on ne la lui retire pas de nouveau. Ce qu’il s’entraîna à faire en apprenant les rudiments de la survie dans la rue dès son adolescence, alors qu’il errait à la recherche d’une bagarre toujours plus audacieuse, mais jamais sans raison. Il y a toujours un opprimé à défendre, n’est-ce pas ? Il reçut une certaine éducation, apprenant à lire, écrire et compter, ce qui peut sembler assez rare, de ce temps. Il développa un certain humour au fil de ses quelques lectures, l’expérience faisant le reste. De même, Alejendro, s’entraînait à l’escrime chaque jour en attendant le retour à terre de son père, essuyant chaque fois une défaite face au paternel.
Dès qu’il fut en âge, Alejendro prit la mer sur le navire de son père, La Centinela, au regret, selon lui, des quelques jolies filles qu’il laissait sur le quai. Il passa une bonne dizaine d’années en mer, améliorant ses stratégies de combat à l’épée, aiguisant son humour et profitant de chaque escale pour laisser derrière lui une amante éplorée. La Centinela était assez réputée et fréquemment envoyée en mer pour défaire les ennemis de la Royauté espagnole. Alejendro se lia d’amitié avec l’équipage et particulièrement avec le Second de son père. Avouons-le, sur La Centinela, une ambiance chaleureuse régnait, malgré les quelques désagréments auquel un équipage doit faire face au quotidien. Finalement, à la mort du Capitaine Mendozza, son père, Alejendro prit la relève, dès les obsèques terminées, l’ensemble de l’équipage était également présent. Le navire est encore à quai et n’attend que son nouveau capitaine pour mettre les voiles.